Note: 3/10
Nombre de pages: 89p.
4ème de couverture:
La ville est assiégée. Dans l'appartement du Professeur, où se sont réfugiés son assistant et Marina, l'étudiante, un seul combustible permet de lutter contre le froid: les livres...
Tout le monde à répondu une fois dans sa vie à la question: quel livre emporteriez-vous sur une île déserte? Dans ce huis clos cerné par les bombes et les tirs des snipers, l'étincelante romancière du Sabotage amoureux pose à ses personnages une question autrement perverse: quel livre, quelle phrase de quel livre vaut qu'on lui sacrifie un instant, un seul instant de chaleur physique? Humour, ironie et désespoir s'entre-tissent subtilement dans cette parabole aux résonances singulièrement actuelles.
Mon avis:
J'ai lu ce livre très vite (3 heures plus ou moins). Le texte est présenté en dialogues, comme dans une pièce de théâtre (ce qui est bien un genre que je n'aime pas). J'ai tout de même lu le livre car le sujet était très intéressant et l'histoire bien ficelée (avec toute l'ironie et la perversité qu'Amélie peut mettre dans ses bouquins)Donc, le livre raconte l'histoire de trois personnages (un professeur, son assistant et une étudiante) qui sont obligés de cohabiter ensemble en temps de guerre. C'est l'hiver, le seul moyen pour eux pour ne pas mourir de froid est de brûler les livres de la bibliothèque du professeur. S'en vient toute une histoire pour déterminer quel livre brûler en premier (et en dernier).
Je trouve que l'écriture est vraiment théâtral et je ne connais aucun livres ni aucun auteurs citer dans le roman. J'aurais aimé connaitre les livres pour pouvoir décider dans ma tête quel livre je garderais et lequel je brûlerais à leur place
Pour résumé, un huis clos sous forme de dialogues (un texte digne d'une pièce de théâtre) qui parle d'un sujet intéressant (quel livre mérite d'être sacrifier pour que l'on ai un peu de chaleur ?) mais un écriture théâtral avec son vocabulaire propre.
La note que j'ai attribuée correspond au fait que je n'aime pas du tout le genre théâtral.
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