Note: 4/10
Nombres de pages: 162p.
éditions: le livre de poche
4ème de couverture:
Ah, enfin tu me prends dans tes mains! Ah, enfin tu lis ma quatrième de couverture! Tu ne peux pas savoir comme j'attendais cet instant. J'avais si peur que tu passes sans me voir. J'avais su peur ue tu rates cette expérience que nous ne pouvons vivre qu'ensemble. Toi lecteur, humain, vivant. Et moi le livre, objet, inerte, mais qui peux te faire décoller pour le grand, le plus simple, le plus extraordinaire des voyages.Quelques mots sur l'auteur:
Bernard Werber est né en 1961. Après des études de criminologie, il intègre une école de journalisme et devient un collaborateur régulier du "nouvel observateur". à trente ans, il rencontre un énorme succès avec son premier roman " les fourmis". Werber incarne en France un genre dans lequel excellent les Anglo-Saxons, celui du roman scientifique.
Mon avis:
Ce livre est très différent des livres que nous rencontrons d'habitude. C'est réellement le livre qui nous parle. C'est un dialogue entre nous lecteur et un livre. Ce livre à pour "but" de nous faire s'évader quelques instants, de nous déconnecter de la réalité. J'avoue avoir eu beaucoup de mal à me laisser transporter par le livre, il nous demande carrément de nous mettre au calme, d'enlever nos chaussures etc. C'est chouette à lire, parce que l'on se sent privilégié (vu que le livre nous tutoie) mais il faut tout le temps s'imaginer des endroits différents, fermer les yeux pendant la lecture... c'est assez agaçant. Dans un bon livre, on a pas besoin de se forcer à imaginer, normalement, les images viennent toutes seules mais là, je me forçais à m'imaginer des scènes pour pouvoir suivre un petit peu le déroulement du bouquin.
J'ai lu ce livre en à peine une heure et je suis assez contente de l'avoir lu car il me faisait de l'oeil depuis un moment (mauvais jeu de mot avec la couverture? ahah) mais je suis un peu déçue par le contenu (très court et écrit en gros caractères) et l'histoire pas assez développer à mon goût. Pour un livre du voyage, il aurait pu nous emmener bien plus loin que ce qu'il ne fait dans ce petit roman.
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